Etoudi: voici les vrais parents de Franck et l'histoire de la femme qui décède sur le lit de Paul Biya

On en sait un plus sur la tragique mort d'une jeune femme sur le lit de Paul Biya que la rédaction de Camerounweb a publié la semaine dernière. Mais bien avant voici les révélations sur les vrais parents de Franck Emmanuel Olivier Biya.

L'image parfaite du président camerounais sans scandales n'est que du leurre , reconnaît Rémy Ngono qui avoue que l'histoire de Paul Biya est cousue, un tissu de mensonges qui a été bien entretenu dans le sérail plus de 38 ans déjà. Tout a commencé dans son premier mariage avec Irene Biya, à en croire Remy Ngono, le lion d'Etoudi a eu des relations extraconjugales.

La première escapade sexuelle du numéro 1 s'est produite avec une nièce de Irene Biya, élève au lycée technique qui a visité le couple à Anguissa. Le président a eu des relations sexuelles avec cette dernière. De cette union naîtra Franck, qui était resté avec sa mère biologique nommée Ghislaine. Très en colère, Irene Biya sera calmée plus tard et ira récupérer l'enfant à l'âge de 4 ans pour le nommer Franck Emmanuel Olivier Biya. Il sera alors l'enfant du couple présidentiel. Ce qui explique selon l'activiste, l'inexistence de photos d'enfance de Franck et Paul Biya.

Quelques années plus tard, la même situation se produit avec une autre nièce de l'ex première dame cameorunaise qui finit par se suicider. Les circonstances de ce drame caché aux camerounais sont dévoilées durant la messe "du pape des dossiers noirs" le samedi 11 juillet dans son direct facebook.

Cette fois-ci, il s'agit d'une soeur de Paul Motaze qui s'appelle Ines, une élève à l'époque à Sangmelima qui est aussi passée pour une visite au couple présidentiel. Il faut rappeler que Irene Biya est la tante de Louis Paul Motaze, l'actuelle ministre des fiances. La jeune fille en question finira par tomber enceinte aussi de Paul Biya. Une nouvelle qui a mise toute la famille sous tensions et la jeune fille sous pression. Lassée de toutes les critiques et les accusations, finit par boire des médicaments. Elle va décéder suite à celà dans son sommeil, dans le secret familial total. C'est ainsi que la jeune fille abrège sa vie sur le lit de Paul Biya. Ce qui expliquerait la dette que Paul Biya continue de payer à la famille Motaze en leur réservant des postes stratégiques.

Ce n'est pas tout, le numero 1 camerounais est aussi embourbé dans d'autres scandales jamais révélées. TOujours dans le grand déballage de Remy Ngono, il indique que Paul Biya entretient des relations sexuelles de Paul Biya avec les ministres du gouvernement.

Revenant sur les escapades sexuelles de Paul Biya, il est écrit sur la page wikipedia de l'ex première dame, qu'elle et son mari ont eu deux fils notamment Franck Biya et Roger Ndoumin dont on n'entend pas parler de lui. Malheur arrivera le 29 juillet 1992, au palais de l'Unité, à Yaoundé, Jeanne Irène Biya décède des suites d'une courte maladie. Elle est inhumée le 1er août 1992 au palais de Mvomeka'a. D'autres versions sorties plus tard démontrent que l'ex première dame est en réalité assassinée.

Tous les mystères restent autour de sa mort. Qui a vu son corps? Pourquoi le cercueil a -t-il été scellé? Était -ce un cercueil sans son corps qui a été enterré à Mvomeka’a, village natal de son époux Paul Biya ? Pourquoi aucune messe d’action de grâce n’a jamais été célébrée en sa mémoire depuis sa disparition ?

La mort de Jeanne Irène Atyam Biya survient alors qu’il y avait de vives tensions entre elle et son mari.

Le 29 juillet 1992, le peuple camerounais est stupéfait en apprenant la mort de la Première dame Jeanne Irène Biya née Monengono Atcham. Elle était sage femme de profession et exerçait à l’hôpital central de Yaoundé. Selon la version officielle, elle souffrait du cancer et aurait fait une rechute le 28 juillet lors d’un séjour dans son village de son époux à Mvomeka où elle voulait faire des lacs de pisciculture.

Transportée par hélicoptère à Yaoundé, elle est décédée le 29 Juillet à quatre heures du matin, à l’hôpital, non , au palais présidentiel. Une version improbable maquillée au forceps comme une voiture volée. On tombe d’autant plus du haut, lorsqu’on soutient dans les coulisses du palais que le chef d’État camerounais avait été informé de la tragédie une heure après son arrivée à Dakar pour un sommet pour du beurre et des épinards.

Ciel! Paul Biya qui ne s’est jamais rendu à un sommet de l’Union Africaine, avait subitement entendu un son de cloche l’invitant à partir de toute urgence à Dakar pour des historiettes de la francophonie qui ne figuraient pourtant pas dans son agenda. Et c’est là-bas où lui- même, après avoir reçu un bref coup de fil de Yaoundé lui annonçant: ” Monsieur le Président, c’est fait!” qu’il avait aussitôt informé ses pairs que son épouse vient de décéder des suites de maladie. Silence, on tourne!


On prétend que c’est le cancer, mais quel est donc ce cancer qui tue subitement comme une attaque cardiaque? Dans quel pavillon de l’hôpital est-elle morte? Quel médecin a été établi le certificat du genre de mort? Quel malade en phase terminale du cancer peut quitter de son lit au palais présidentiel pour aller travailler dans les lacs de poissons au village? Quel mari peut abandonner son épouse gravement malade dans son village pour se rendre dans un autre pays où il n’y avait ni urgence, ni obligation?

La réalité est que la Première dame avait été abattue par balles. Le jour de sa mort, elle avait reçu deux religieuses françaises qui furent toutes retrouvées mortes, violées et jetées dans les broussailles, non loin de leur congrégation à Djoum. L’ Abbé Amougou qui avait célébré la messe des obsèques fut retrouvé mort. Une missionnaire de l’ église catholique qui avait lavé le corps de la dépouille de Jeanne Irène Biya fut aussi abattue.

Père Engelbert Mveng, son confident, fut retrouvé nu, assassiné et le corps positionné en signe de croix, sur son lit. Le médecin légiste qui avait constaté le genre de mort fut éliminé. Le cercueil de la Première dame qui devait pourtant être ouvert pour la messe de requiem, fut scellé. Le capitaine Roger Motazé, aide de camp du chef de l’ État, à qui Jeanne Irène BIYA avait confié d’organiser sa fuite du Cameroun , fut tué dans un accident de voiture, après avoir déjeuné avec le Président Biya.

Cette dame de coeur qui avait conseillé à son époux de démissionner après l’interview du directeur général de la Société Camerounaise de Banque Robert Messi Messi qui avait révélé dans Jeune Afrique que Paul Biya et les membres de sa famille avaient pillé près de 4 milliards dans les caisses. Alors que le peuple voulait lui rendre un vibrant dernier hommage, le chef de l’État ordonna plutôt que son cerceuil hermétiquement fermé, soit conduit au village. Un seul chef d’État africain fut convié à l’enterrement: Mobutu Sese Seko.

On n’a jamais réussi à soulever l’écorce pour savoir si le corps de la Première dame se trouvait réellement dans ce cerceuil. Tous les exemplaires du journal International News Bi Hebdo dans lequel je faisais des piges et qui titra ” Un cerceuil vide enterré à Mvomeka’a”, furent saisis par la police et la gendarmerie. Le nom, les photos de l’ex-Première dame du Cameroun ont disparu du palais présidentiel et restent bannis. Qu’a-t-on fait du corps et de la mémoire de Jeanne Irène Biya? Pourquoi n’a-t-on jamais organisé une seule messe de commémoration depuis sa disparition? Comme le disait Antonio Porchia: ? Mes morts continue de souffrir la douleur du crime en moi?.



Tous ceux qui ont vu le corps d’Irène Biya ont été tués, y compris le prêtre


Vingt-six ans après son décès, le doute plane toujours sur les réelles circonstances et causes de la mort de la première épouse du président camerounais Paul Biya Jeanne-Irène Biya.

Dans l’ouvrage « Le vrai visage de Paul Biya », l’écrivain camerounais Ebalé Angounou révèle des séries de « meurtres » qui ont eu lieu quelques jours après la mort de Jeanne-Irène Biya et qui auraient un lien avec le décès de la première dame. Extrait…

A Dakar les chefs d’Etat sont en conclave lorsque Paul Biya se lève pour exprimer à ses pairs, la terrible nouvelle. Que s’est-il passé ? Le commentaire de Charles Ndongo, journaliste ayant accompagné le chef de l’Etat, va nous instruire. L’ex journaliste du Président, dans son reportage sur le sujet, raconte que Paul Biya, sachant qu’il avait laissé son épouse très malade au pays, s’attendait au pire.

Mais le devoir l’appelait à Dakar. Alors il attendait à tout moment des nouvelles. On le sentait anxieux, gêné. Puis son aide de camp s’est approché à un moment pour lui communiquer la nouvelle.
Alors Paul Biya s’est levé pour dire solennellement: « on vient de m’annoncer une terrible nouvelle : mon épouse est décédée ».

Nous sommes en août 1992. A voir de près, Charles Ndongo, brillant journaliste, n’est pas un naïf.Et entre les lignes on peut déceler son message. Car un époux qui aime son épouse ne peut pas se déplacer lorsqu’il sait que celle-ci risque de rendre l’âme après lui. Paul Biya manifestait de l’impatience au point de consulter sa montre. C’est qu’il avait les détails de l’exécution de son épouse. Il savait qu’une fois l’opération achevée, on le lui annoncerait. Il savait même à quelle heure sensiblement le coup aurait lieu.

Le moindre retard l’exaspérait parce qu’il avait peur d’un échec : ce genre de coup doit absolument aboutir.Les pairs africains de Paul Biya n’ont pas été dupes car, ils ont flairé l’entourloupe.

Ils se connaissent suffisamment entre eux.

Cela explique qu’il n’y ait pas eu de chef d’Etat autour de lui pour les offices religieux. Juste des messages de condoléances là où on serait massivement venu rendre hommage à celle qui fut dame Biya. Même leurs épouses parmi lesquelles la défunte comptait de nombreuses amies ne se donnèrent pas le mal de se déplacer.

Il s’agissait d’un boycott car tous étaient mécontents de Paul Biya dont ils se désolidarisaient.

Si le Président Mobutu vient assister Paul Biya, ce qui est tout à fait compréhensible quand on sait que les deux hommes étaient versés dans les mêmes pratiques.

Cela veut dire que Dakar n’était qu’un alibi pour Paul Biya qui, ayant décidé de la mort de son épouse, avait jugé de l’opportunité d’être hors du pays quand l’assassinat de celle-ci aura été perpétré.

Ayant appris la mort de Jeanne-Irène, le Président rentre immédiatement au pays. Il réalise alors que la défunte a reçu quelques heures auparavant des religieuses.

Il panique. Il s’agit des amies et confidentes de son ex-épouse. Ne leur aurait-elle pas livré des secrets qui pourraient le compromettre comme elle a promis de le faire ?

Agissant conformément aux préoccupations du Président de le République, Minlo’o Medjo va dépêcher un commando d’urgence à Djoum. Une intrusion est faite dans les locaux des bonnes sœurs.

Elles seront brutalisées, torturées, malmenées, puis tuées finalement après qu’elles soient passées aux aveux.

Une des deux bandes sonores dans lesquelles la défunte avait consigné des révélations sur sa vie avec son mari est récupérée. L’autre a été transmise à l’Abbé Amougou du diocèse de Sangmélima, par les religieuses.

Après la messe qu’il célébrera à l’occasion des obsèques de Jeanne-Irène, ce prêtre sera retrouvé mort de manière très curieuse et inexplicable.

Le secret devrait absolument entourer les circonstances et les conditions de la mort de Jeanne-Irène. Tous ceux qui étaient susceptibles d’en dire quelque chose devaient disparaître.

A commencer par ceux qui l’ont exécutée, des éléments d’une division spéciale de la sécurité présidentielle, abattus par leurs collègues.

Après avoir abattu Jeanne-Irène et les religieuses de Djoum, ils sont eux aussi passés à la casserole. Le médecin légiste ayant établi le certificat de genre de mort a été exécuté, de même que des femmes de l’Eglise catholique ayant pris sur elles de laver la dépouille de Jeanne-Irène.

Ce corps fut escamoté aux Camerounais car ceux-ci auraient eu en leur présence, un corps mutilé par trois balles de pistolet automatique. Or, on a voulu faire croire qu’elle était malade et en est morte. C’est sans compter avec son programme.

Car elle avait une sortie à effectuer au lendemain du jour de sa mort. Elle devait se rendre avec Yaou Aïssatou alors ministre en charge de la promotion de la femme, dans la zone d’Obala pour la visite d’un champ de champignons réalisé par une association de femmes rurales.

Si son état de santé ne le lui aurait pas permis, le programme aurait été annulé.

Pourtant, un jour avant la date de sortie, donc le jour de sa mort, Jeanne-Irène aura reçu Yaou Aïssatou et les deux femmes avaient étudié les contours de la cérémonie du lendemain dont la date avait été maintenue.

C’est dire qu’elle était en parfaite santé et Paul Biya en se rendant à Dakar, ne laissait pas derrière lui une épouse physiquement mal en point, comme ont voulu le laisser entendre les versions officielles, tentant de justifier la mort soudaine de la première dame.

L’accident suspect de Motaze Roger

Depuis leur retour de Dakar, Motaze Roger n’a pas la conscience tranquille. Sa tante est morte parce qu’il n’a pas su la protéger.

Alors qu’il aurait dû. Il ressent maintenant son absence. De part et d’autre de la famille, il subit des pressions. La vie du Palais l’incommode déjà. Il voudrait en partir, continuer sa carrière militaire ailleurs.

L’idéal serait même de sortir un moment du pays, question de changer d’air et de se refaire un moral. Paul Biya s’est très vite rendu compte de l’état d’esprit de son aide de camp depuis que la tante de celui-ci est décédée.

Et cela le met mal à l’aise.

De toutes les façons, Roger en sait trop, et cela n’est pas bien, cela n’est pas rassurant. S’il a éliminé Jeanne-Irène pour certaines raisons, pourquoi n’éliminerait- il pas Roger pour les mêmes raisons ? En effet, dans cet état d’esprit, il pourrait bien craquer et lâcher le morceau.

Le Président invite alors son aide de camp à un dîner intime. L’occasion est favorable à ce qu’il fasse le point de la situation. Roger est entré à son service, six (06) mois après son accession à la magistrature suprême. Depuis lors, il le sert à la fois comme le fils qu’il n’a cessé d’être et le soldat qu’il est devenu.

C’est dans une salle particulière que le chef de l’Etat installe son aide de camp. La table est faite. Il y a de faibles lumignons de diverses couleurs, et une odeur de parfum magique : l’ambre sans doute, ou le benjoin.

Ce sont les deux parfums magiques du Président. Il y a aussi une douce musique instrumentale religieuse qui flotte dans l’air. Paul Biya sert à boire à Roger Motaze dans une coupe.

Puis il prend du pain de sa main, qu’il lui donne. Il fait de même avec du poisson. Roger mange et boit en présence du Président. Pas un seul propos n’a encore été échangé. La musique s’arrête.

Le Président se lève. Marche vers la porte. S’immobilise. Parle enfin : Roger doit se rendre le lendemain en mission à Mvomeka’a, le village de Paul Biya.

Il y va très souvent d’ailleurs. De retour chez lui, l’officier est perturbé : ce dîner lui a paru suspect. Il va alors à son tour préparer un document sonore dans lequel il fait état de son dîner avec Paul Biya, en y exprimant ses appréhensions.

Car il sait que le Président est devenu un Maître dans l’art du sorcier. Le lendemain, en compagnie de l’officier de l’armée, il se rend à Mvomeka’a. C’est à un virage mal négocié qu’il va déraper pour trouver la mort.

Son compagnon de voyage en sort indemne. Il connaissait pourtant parfaitement la route, qui est d’ailleurs la meilleure du Cameroun.

C’est qu’il avait oublié un tout petit détail : lorsqu’on dîne avec le diable, il faut s’asseoir à bonne distance, et utiliser une longue cuillère.

Le maire de Sangmélima, M. N’na Ze Bavard, déclare que l’officier, de passage devant la mairie ce jour-là, l’a aperçu et lui a dit : “je fais un tour au village, j’arrive”. Il n’en est jamais revenu … c’était un voyage pour l’éternité.