URGENT ! Guillaume Soro est dans de beaux draps : voici ce qui s'est passé.

Le lundi 23 novembre 2020, des Ivoiriens de la diaspora en Europe, ont saisi la présidente de la Commission de l’ Union européenne et le président du Parlement ivoirien à l’effet de solliciter leur concours pour l’extradition de Guillaume Soro en Côte d’Ivoire, qu’ils estiment être le principal instigateur des violents incidents qui ont émaillé le scrutin présidentiel ivoirien du samedi 31 octobre 2020.


100 citoyens ivoiriens et européens d’origine ivoirienne ont saisi par courrier, la Présidente de la Commission Européenne, Ursula Von Der Leyden, et David Sassou, Président du Parlement Européen, pour demander leur concours à l’effet d’obtenir l’extradition de Guillaume Soro vers la Côte d’ Ivoire.

"Ces dernières semaines, la République et le Gouvernement de Côte d’Ivoire font face à des actes de défiance et de sédition. Ceux-ci malheureusement ont entraîné selon le bilan officiel, quatre-vingt-cinq (85) pertes en vies humaines, de nombreux blessés et des destructions publics et privés dans certaines localités du pays. Certains acteurs politiques ivoiriens dont Monsieur Guillaume Kigbafori Soro, ont été des catalyseurs de violences, d’infractions et d’atteintes graves à l’État de Droits. (…) Nous sollicitons votre contribution pour faciliter la mise hors d’état de nuire de tous les auteurs et commanditaires de ces actes qui pourraient faire basculer le pays dans le même effondrement que connaissent certains de ses voisins ", ont-ils appelé.

"La Côte d’Ivoire terre, modèle et promotrice de la démocratie, de l’humanisme et des Droits de l’Homme ne saurait être une base arrière ou le point de départ d’actes subversifs ciblant un pays ami avec lequel l’Union européenne entretient d’excellentes relations faites d’amitié, de coopérations économiques et diplomatiques ", ont-ils poursuivi.

Avant d'ajouter : " Monsieur Guillaume Kigbafori Soro, député et ancien Président de l’Assemblée nationale de Côte d’Ivoire, en violation de toutes les règles et normes de droit national et international, s’était ainsi engagé, bravache, lors d’une conférence dans un luxueux hôtel parisien le jeudi 17 septembre en disant “qu’il n’y aurait pas d’élections en Côte d’Ivoire à la date constitutionnelle. Il réitéra les mêmes propos au sein du Press Club de Bruxelles lors d’un débat par visioconférence avec des Eurodéputés au Parlement européen le 19 octobre dernier; il appela même lors d’un discours suivant, au soulèvement militaire et au renversement des autorités légales par un coup d’État."


" Une partie de l’opposition ivoirienne était visiblement dans un projet de déstabilisation depuis des mois, bien avant le début de la campagne électorale. En effet, certains de ses cadres évoquaient depuis le mois d’avril 2020 l’idée d’une “transition civile sans le Président Alassane Ouattara, alors qu’il n’était même pas le candidat (…)“. 

Certains comme Monsieur Pascal Affi Nguessan, Président du Front populaire ivoirien (FPI), évoquaient déjà une transition au motif que le Président Ouattara “voudrait“ imposer le Premier ministre Amadou Gon Coulibaly aux Ivoiriens ".