Scandale sext@pe de Penielle : L’ex-femme de Mike Kalambay avoue tout et assume ! Voici la personne qui l’a trahie

Ces vidéos font le tour de la la toile depuis plus de 24 heures. Penielle Nsamba, ex-femme du chantre et pasteur Mike Kalambayi, est au cœur d'un scandale de sextape.
Face à la polémique, la principale concernée est sortie de sa réserve et a donné sa version des faits.

Ces images se sont répandues sur la toile et font couler beaucoup d’encre et de salive depuis quelques heures.
Dans certaines vidéos, on voit clairement Penielle en plein ébats sexuels avec un homme dont le visage n'est pas dévoilé.

D’après cette dernière, c'est un certain Didier, son ancien amant.
Les autres montrent l'ex-femme de Mike Kalambayi aux côtés d'un "autre" homme qui, selon elle-même, est un certain Jack.

Ce dernier, raconte Penielle, "veut donner l'impression que c'est lui dans la vidéo (sextape, NDLR). Il n'arrive pas à accepter que je ne veux pas de lui. Il a sorti une vidéo intime de moi et un autre homme pour valider ces illusions". Sans mâcher des mots, Penielle "s'assume" et reconnait que "c’est bien moi dans toutes les deux vidéos. Mais pas avec le monsieur. Mais avec mon ex, Didier". Et d'expliquer: "J’avais ces vidéos en ma possession et non Didier. J’ai fais l’erreur de montrer la vidéo à une ex-copine Patricia Balusa et c’est elle en collaboration avec Tata Pau" qui est à l'origine de sa diffusion sur le Net. 

Face à cette "méchanceté gratuite", l'ex-femme de Mike Kalambayi envisage d'ester en justice les auteurs de cet acte. "Je n’ai jamais voulu porter plainte pour des choses qui se passent sur les réseaux sociaux... je trouve c’est des bêtises mais cette fois ci je le ferais. Cette fois ci en tout cas vous apprendrez, sur la tête de mes fils", déclare-t-elle sur Twitter, rassurée qu'elle sortira "la tête haute comme toujours".

Un scandale qui semble écorner davantage la réputation de Pénielle, déjà mise à mal dans les circonstances de son divorce d'avec son ancien mari, le célèbre chanteur et pasteur congolais.